Les dégâts de Peeves(Privé)

Dans les escaliers,il ne pensait à rien.Sans s'en rendre compte,il était rentré dans une routine.Cours,devoirs,repas,amis...La routine était bien là,bien présente...Cela ne le dérangeait pas,non puisqu'il ne s'en était même pas aperçu...Il ne s'était aperçu ni de la routine et ne s'était pas non plus aperçu que maintenant,sa grand-mère pouvait être fier de lui...il pensait à elle de temps à autre,mais plus en pleurant sur sa mort,non il pensait par exemple à ce qu'il lui qirait si elle le voyait.Mais il ne pensait pas à sa grand-mère.Non là il pensait au meilleur endroit pour travailler...La salle commune ne devait pas être bondé,certains avaient cours à cette heure-ci...Mais il n'avait pas envie de bavarder,il fallait qu'il travaille et qu'il se concentre un peu...Non décidemment la bibliothéque était le meilleur endroit...Ilremonta donc les escaliers et se retrouva dans un couloir sans fenêtre ou une tapisserie accrochée au mur représentait trois sorcières se bagarrant bruyamment.Au bout du couloir quelqu'un arrivait dans l'autre sens...

Les choses s'étaient passés si vite...Valentin avançai dans le couloir sans remarquer le garçon le croisant...sans remarquer non plus Peeves arrivant...Les deux garçons s'étaient alors jetés vers la tapisserie pour se plaquer contre le mur, mais elle s'était relever pour ne laisser qu'un trou béant…où les deux garçons étaient tombés…Ils n’étaient pas tombés de bien haut non.2m50 ou quelque chose dans le genre .En tout cas ce fut suffisant à Valentin pour avoir un haut le cœur, crier, puis tomber sur les mains qui saignaient maintenant comme si on aurait voulu en faire du gruyère râpé…Durant quelques instant, durant lequel Valentin se releva dans un piteux état, la lumière pénétrait encore dans la salle. Valentin eut le temps d’apercevoir que ce n’était rien d’autre qu’une salle aux murs lisses et au plafond non visible…Mais très bientôt la tapisserie retomba et ils se retrouvèrent dans le noir quasi total. Puis Valentin put voir qu’une espèce de pont-levis s’était refermé sur la tapisserie plongeant la salle dans un noir où personne ne pouvait apercevoir la moindre chose…Et le silence s’installa, le silence le plus horrible que Valentin n’eut jamais vécu…
Valentin ne s'était jamais mis dans une situation similaire...Il était dans une salle,close,avec un garçon qu'il ne connaissait pas et dans le noir absolu...

-Oh,put*** de m**de,laissa t'il échapper ce qui n'était pas dans sa nature.

A présent, il se moquait bien de ses mains en sang et de sa douleur au genou...Ce qu'il voulait, c'était sortir...

[HJ:Ouuuuu,que j'aime pas ce message...il est trop pourri...désolé!]

[Hj: Nan c'est très bien ton truc]

Léo se sentit tomber en chute libre, et pria pour ne pas se tuer. Bientôt, il était allongé, au milieu de ses bouquins éparpillés sur le sol. Il se releva, ne réalisant pas encore ce qu'il s'était passé. Il prit soudain conscience de la gravité de la situation: il était enfermé dans un endroit noir comme de l'encre, en compagnie d'un garçon de son année qui se contentait de lâcher des jurons, sans vivres. Il soupira, et, d'un geste rageur il donna un coup de poing sur le mur près de lui. Il étouffa un cri de douleur et se retint de hurler comme un malade. Il recula, se prit les pieds dans l'un de ses livres et heurta Valentin:

'-J'suis désolé"

C'était les premiers mots qu'il venait de lui dire. C'était si étrange de se sentir enfermé avec quelqu'un que l'on ne conaissait pas...Il s'écarta un peu et se mit à quatre pattes, cherchant à tâtons, son sac pour ramasser ses livres. Jurant, il sentit enfin la masse mouvante de l'objet.

Lorsque le garçon s'était bousculé à Valentin,ce dernier n'avait rien répondu...Il était consterné,fatigué enervé...Il fallait penser à se calmer...Oui,voila!Se calmer!Valentin respira profondemment ...Que lui dirait sa grand-mère?De un:garder son calme.Bon ça c'était à moitié fait.De deux:Sa baguette magique,un peu de lumière ne serai pas de refus.Valentin se leva doucement et sortit sa baguette de son sac.Il maitrisait ce sort comme de rien.

"Lumos", s'exclama t'il

Un rayon de lumière sortit de sa baguette...Donc ça c'est fait!De trois maintenant:L'union fait la force,il faut parler au garçon.Mhhh et lui dire quoi?Il dirigea la lumière vers le visage du garcon et lui dit:

-Bon,tu peux faire pareil?Il nous faut un maximum de lumière pour voir si on peut trouver une issue.Et je m'appelle Valentin.

Direct et désagréable,ce n'était pas son genre.Mais il trouvai que la situation était mal choisi pour les formules de politesse et puis malgré tous ses efforts pour garder son calme,il paniquai un peu,avait des sueurs et son coeur battai à tout rompre...

Ca y est Valentin était plutôt calme à présent .Il éclairait les quatre murs à la recherche de quelque chose qui pourrait les aider à sortir…en vain. Les murs étaient nus, et le plafond idem…Valentin ne faisait plus vraiment attention au garçon dont il savait à présent qu’il s’appelait Léo, mais soudain il lui dis quand même, par soucis de paraître impoli :
-D’accord enchanté, sans même un regard, donc là il pouvait s’estimer impoli…
Il était en train de réfléchir, d’essayer de se souvenir d’un sort ou de quelque chose qui pourrait les sortir d’ici…Encore une fois depuis de nombreux jours, il eut recours à sa grand-mère…Qu’est ce qu’elle lui dirait…Léo.
-Bon, est ce que tu connais un sortilège qui pourrait nous faire sortir parce que la moi, il se laissa glisser contre le mur pour se retrouver assis tout en regardant le jeune Gryffondor, je sais plus quoi faire…
*Maudit Peeves, songea t’il en se disant que si Léo ne savait pas comment sortir d’ici. Il faudra attendre. Attendre mais quoi ?

Ce qui énèrvait le plus Léo-hormis le fait d'être enfermé dans un lieu obscur sans pouvoir en sortir, sans manger et avoir très peu de chance d'en ressortir- c'était l'impolitesse de Valentin. Il soupira, et en répondit pas à sa formule de politesse impolie XD. Bien entendu, il n'était pas du genre à vouloir que les gens le respecte, mais, il aurait bien aimé un peu plus d'effort de la part du Serdaigle. En effet, il aurait bien aimé se faire des amis. Après un long temps de reflexion et de silence, il se tourna vers le Gryffondor et lui demanda si il conaissait un sortilège capable de sortir de là. *Tout d'un coup, il s'intérèsse à moi*ironisa-t-il en pensé. Il réfléchit et fit remarquer:

"-Le sortilège alohomora ne fonctionne qu'avec une porte...Je viens juste d'arriver à Poudlard et j'avoue ne pas connaître beaucoup de sort..."

Il s'excusa avec un sourire imperceptible et proposa:

"-On pourrait faire du boucan pour que quelqu'un nous vienne en aide?"

Il avait oublié que ce secteur du château était très peu fréquenté.

Assis par terre,comme s'il venait de faire le tour du lac dix fois,il regardait Léo d'un air fatigué...Il avait beau chercher ,mais il ne trouvait pas...Lorsque Leo dit qu'ils pourraient faire du boucan,Valentin trouva tout dabord que cétait une bonne idée...Mais après avoir réfléchi...-On n'arriverai pas a faire assez de bruit,et puis même si on y arrive pendant quelques secondes,il n'y a jamais personne dans ce couloir...Non ,je ne vois pas dautres solutions que d'attendre...Des fantômes passeront peut-être ou pire,Rusard...En attendant,on peut...bavarder?Voila,là il s'était rattrapé...Il n'aimait pas qu'on le prenne pour quelqu'un de ...désagréable,d'antipathique.Pour un Serpentard quoi!Alors dans une dernière tentative pour parraître simpathique,il dit:-Heuresement qu'on est deux,je crois que je n'aurai pas supporté être seul ici...Heuresement que t'es là...Bon ça avait le mérite d'être clair:il voulait se faire pardonner d'avoir été aussi brusque .[HJ:Il y a un gros problème avec la syntaxe...en tout cas dès que vous voyez une apostrophe,pensez que j'ai bien galéré à la mettre et j'ai pas réussi sauter des lignes bref,boulet quoi!]

[Hj: XD, j'ai lu d'un peu partout qu'il y avait ce problème mais moi j'ai pas l'impression de l'avoir...]

Apparement, son idée était mauvaise. Léo soupira et termina de rassembler ces livres dans son sac avant de s'asseoir à côté du Serdaigle. Il sourit, dans le noir, malgré la lumière, Valentin ne pu voir ce signe d'accord. Mais son silence pouvait très bien être prit pour. Tout d'abord, Léo avait prit le Serdaigle pour quelqu'un de plutôt désagréable, mais, à présent il tentait de se faire pardonner en proclamant la compagnie du Gryffondor comme un cadeau du seigneur^^. Il ascquieça et répliqua:

"-Ouais, heureusement qu'on est deux...J'avoue que si Rusard tombe sur nous, on risque une petit retenue, même si on dit la vérité..."

Il conaissait le concierge de sinistre réputation et conaissait son dégout profond envers les élèves, ce qui ne l'empêchait pas de prier qu'il vienne à la rescousse...

-M'en parle pas!Je l'ai déjà croisé dans les couloirs et vraiment,on voit qu'il est pas sympathique sympathique...Le seul point commun que j'ai avec lui maintenant , c'est que ça y est , moi aussi je hais Peeves profondément...J'aimerai tellement connaître un sort pour chasser les esprits frappeurs comme cet imbécile...

La situation était presque comique maintenant qu'ils étaient tous les deux assis à côté, adossé contre le mur, en train de critiquer le concierge alors qu'ils étaient enfermé dans une salle obscure et qu'ils ne savaient pas quand ils allaient en sortir...Pourquoi s'en soucier après tou?Il n'y avait aucun moyen de sortir, point final.Maintenant, tout était une question de chance,qui allait les trouver mais surtout,quand?

[HJ:Le RP est pas très long mais je me suis creusé comme un malade... Oui oui,ça m'arrive!]

On sentait dans la voix du Gryffondor, qu’il n’était plus très calme. Il paraissait énervé. La preuve :lorsqu’ils entendirent des bruits de pas et des gens parler, il s’était mis à taper et à hurler contre le mur qui pourtant, ne lui avait rien fait du tout. Quand il s’expliqua par un « On ne nous entend pas », Valentin aurait voulu répondre des tas de choses genres « je te l’avais dit » ou « j’avais remarqué » ou encore « continue à crier quand même si ça t’amuse ».Mais si il avait prononcé ces paroles-là, ça aurait été le Valentin peureux et anxieux enfermé dans une chambre étrange qui aurait parlé. Alors que ce Valentin là, il fallait qu’il disparaisse. Non au contraire il fallait répondre gentiment .Alors, se forçant de paraître le plus las possible, il dit :

-Ouais.

Comment ça c’était pas super gentil ?En tout cas, il avait fait du mieux possible…Maintenant il fallait lui rappeler ce qu’ils étaient censés faire :attendre…

-Tu sais, je continue à croire que l’on ferai mieux d’attendre un quelconque fantôme ou Rusard.

A ce moment précis, au moment ou Valentin allait dire « ou même Peeves ».Le fantôme au chapeau à sonnettes apparut avec un sourire railleur…